Certaines d'entre elles seront mieux appréciées par ceux qui ont une certaine culture scientifique.
A vous de juger :
En ballon... - La
boîte d'épinards - Le grand
jeu télé
Démonstration de
la règle "Tous les nombres impairs sont premiers" - Un
polytechnicien à l'oeuvre
Demandeurs d'emploi
- Mérites comparés d'une épouse
et d'une maîtresse - Conditions
initiales
Deux hommes vont faire un tour en ballon. Soudain le temps
se gâte et, emportés par delà les nuages, les bonshommes
finissent ne pas savoir retrouver leur chemin une fois le temps redevenu
clair. C'est alors qu'ils aperçoivent un individu en train de méditer
à l'ombre d'un arbre :
- Pardon, monsieur, pourriez vous nous dire où nous sommes,
s'il vous plaît ?
L'homme se met alors à réfléchir
longuement. Au bout d'une heure d'intenses efforts, il leur répond
:
- Dans un ballon.
- Merci, monsieur le mathématicien.
L'homme demande, étonné :
- Comment avez-vous su que j'étais mathématicien ?
- Pour trois raisons, répondent les aéronautes.
Premièrement,
vous avez réfléchi longtemps avant de répondre.
Deuxièmement,
votre réponse est exacte.
Troisièmement,
elle ne sert à rien.
Lors d'une expérience, un ingénieur,
un physicien et un mathématicien sont enfermés chacun dans
une pièce, avec une boite d'épinard, mais sans ouvre-boîtes.
24 heures plus tard, les portes de chacune des trois pièces s'ouvrent....
Dans la première pièce, l'ingénieur
est en train de dormir avec a cote de lui la boite de conserve toute cabossée,
mais ouverte et vide. On le réveille et on lui demande comment il
a procède. Il explique: - Quand j'ai eu faim, j'ai pris la conserve
et j'ai tape sur son point de moindre résistance.
Dans la deuxième pièce, le physicien
est lui aussi repu d'épinards. Il explique: - Quand j'ai eu faim,
j'ai observe la boite, posé quelques équations et applique
une forte pression sur les points idoines, et la boite s'est ouverte.
Dans la troisième pièce, le mathématicien
est assis par terre dans un coin, la boite d'épinard a ses pieds
et il marmonne en transpirant a grosses gouttes: "Supposons que la boite
est ouverte, supposons que la boite est ouverte..."
Lors d'un grand jeu télévisé,
les trois concurrents se trouvent être un ingénieur, un physicien
et un mathématicien. Ils ont une épreuve à réaliser.
Cette épreuve consiste à construire une clôture tout
autour d'un troupeau de moutons en utilisant aussi peu de matériel
que possible. L'ingénieur fait regrouper le troupeau dans un cercle,
puis décide de construire une barrière tout autour. Le physicien
construit une clôture d'un diamètre infini et tente de relier
les bouts de la clôture entre eux jusqu'au moment où tout
le troupeau peut tenir dans le cercle.
Voyant ça, le mathématicien construit
une clôture autour de lui-même et se définit comme étant
à l'extérieur.
Démonstration de la règle "Tous les nombres impairs sont premiers".
Le mathématicien :
" 1 ça marche, 2 et 3, ça marche, 5 et 7 ça marche,
9 ça marche pas. ! Elle est débile votre règle !
Le physicien :
" 1 ça marche, 2 et 3 ça marche, 5 et 7 ça marche,
9 ça marche pas, c'est un résultat expérimental aberrant,
puisque 11 et 13 marchent aussi... La règle est vraie."
L'informaticien :
" 1 ça marche, 2, ça marche, 3 ça marche, 5 ça
marche, 7 ça marche, 9 ça marche pas, 9 ça marche
pas, 9 ça marche pas ..."
Le chimiste :
"1 ça marche, 2 ça marche, 3 ça marche, 5 ça
marche, 7 ça marche, 9 ça marche, 11 ça marche, 13
ça marche, etc... Bah, la règle est vraie".
Le littéraire :
" C'est quoi un nombre premier ??? "
Un polytechnicien attrape une puce. Il la pose sur
la table en lui disant :"saute". La puce saute. Il la rattrape et vérifie
plusieurs fois la reproductibilité de son expérience.
Puis, il lui coupe les pattes et la pose a nouveau
sur la table en lui disant :"saute". La puce ne saute pas.
Il sort son carnet et écrit : LOI : Quand
on coupe les pattes à une puce, la puce devient sourde.
Un chef d'entreprise cherche un ingénieur.
Quatre personnes répondent à l'annonce qu'il a passée.
Le premier est un polytechnicien (ou un centralien, voire pire : un
normalien).
- " Bien monsieur, demande le patron, j'aimerais
que vous comptiez jusqu'à dix.
- Si vous voulez. Mais dans quelle corps dois-je
compter ?
- Ben vous comptez, voilà !
- Oui, mais dans IR ou dans IR* ? Doit-on
considérer ce corps comme commutatif ou pas ? La loi de composition
interne est-elle + ou . ?
- Bon, okay, laissez tomber..."
Le suivant est un informaticien (ENSIMAG, Mines, SupTélécom,
tout
ce que vous voulez)
- "Pourriez vous compter jusqu'à dix,
s'il vous plaît ?
- Pas de problème : 1, 10, 11, 100,
101, 110, ...
- C'est bon, c'est bon, allez-y, on vous écrira.
"
Le troisième est aussi un informaticien.
- " Vous pourriez compter jusque vingt, s'il
vous plaît ?
- No problem : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9,
A, B, C, D, E, F, 10...
- Merci , ça ira."
Le dernier est un faqueux (pour les profanes c'est ainsi que l'on appelle
ceux qui sont à la fac - ou en sortent)
- " Comptez jusqu'à dix, je vous prie.
- 1, 2, 3, 4, 5, 6, ....
- C'est bon, ça marche, vous êtes
pris.
- Ah mais attendez, il faut aller jusqu'au
bout: 7, 8, 9, ...
- Ça suffit, je vous dis, vous êtes
embauché !
- Mais je peux encore aller plus loin ! 10,
valet, cavalier, dame, roi... "
Mérites comparés d'une épouse et d'une maîtresse
Un médecin, un légiste et un informaticien
discutent des mérites comparés d'une épouse et d'une
maîtresse.
Le légiste :
"Il vaut mieux avoir une maîtresse.
En cas de divorce, une épouse pose de nombreux problèmes
légaux. "
Le médecin :
"Il vaut mieux avoir une épouse, car
le sentiment de sécurité réduit le stress, et c'est
bon pour la santé."
Le mathématicien :
"Vous avez tous les deux tort. Le mieux est
d'avoir les deux. Quand votre femme vous croît chez votre maîtresse,
et votre maîtresse chez votre femme, vous pouvez faire des maths."
Trois scientifiques, un ingénieur, un biologiste
et un mathématicien discutent sur la terrasse d'un pub. Ils remarquent
que deux personnes entrent dans une maison située en face du café.
Une heure plus tard, trois personnes en sortent.
L'ingénieur dit :
-"Les données initiales étaient erronées".
Le biologiste dit :
- "C'est simple, ils se sont reproduits".
Le mathématicien dit :
- "Si une personne entre de nouveau dans la maison, elle redeviendra
vide".